À seulement quelques centaines de mètres, à Venise et à Rome, on trouve d'autres endroits, presque ignorés, mais tout aussi riches.
Le niveau de tourisme dégrade le plaisir des résidents mais aussi l'expérience des touristes, parce que le touriste qui fait en permanence la queue derrière les sacs à dos de centaines d'autres touristes ne découvre pas la réalité et l’authenticité du lieu.
Le danger est très important. Nous sommes en train de devenir Pompéi, une ville que les gens viennent visiter, disent qu'elle est magnifique mais où personne ne vit. […] Les Vénitiens ne sont pas contre les touristes. Il est juste que les touristes puissent visiter Venise, mais il est aussi juste que les Vénitiens puissent y vivre. Le défi est de réussir à gérer ces deux mondes différents.